Chez les chats, il en va de même que chez les humains. Ils vivent aujourd’hui plus vieux parce que leurs conditions de vie se sont améliorées. Mais avec l’augmentation de l’espérance de vie, certaines maladies qui n'étaient pas un problème dans le passé font leur retour. Et il existe de nombreuses maladies du chat : certaines maladies félines sont diagnostiquées lorsqu'il est déjà trop tard, quand d'autres tuent l'animal en quelques jours…. Pour les prévenir, les vaccinations et les examens médicaux seront vos meilleurs alliés.

Nous avons exclu du focus de cet article les endoparasites (vers intestinaux…) et les ectoparasites (puces, tiques…). Ci-après un aperçu de 13 maladies félines, les plus courantes ou les plus dangereuses.

Chat malade du Sida

L'infection par le virus de l'immunodéficience féline (FIV) affaiblit le système immunitaire des chats. Le chat ne peut plus se défendre suffisamment contre d'autres agents pathogènes tels que les bactéries ou les champignons. Tout comme une infection par le VIH chez l'homme, les chats atteints du FIV peuvent être infectés par le virus depuis plusieurs années sans que la maladie ne se déclare.

Un danger pour le propriétaire ?

Non, pour les humains, la FIV semble être inoffensive.
La cause: Le plus souvent, le FIV est transmis par morsure. L'infection sexuelle joue un rôle plutôt mineur chez les chats. Les mâles non castrés et errants sont particulièrement exposés au risque de contracter le sida félin.
Les symptômes : L'infection par le virus de l'immunodéficience féline (VIF, SIDA du chat) peut être divisée en plusieurs étapes. Environ quatre semaines après l'infection, de légers symptômes tels que fièvre, malaise et diarrhée sont possibles chez les chats. Dans la phase suivante, le chat est contagieux mais ne présente aucun symptôme visible. Cette phase peut durer jusqu'à plusieurs années. Plus tard, les chats affectés souffrent par exemple : d'une inflammation de la bouche (par exemple, inflammation des gencives, inflammation de la muqueuse buccale), de fièvre, de perte d'appétit et/ou de modifications des ganglions lymphatiques. En outre, ils perdent souvent du poids. Au stade final, des tumeurs peuvent également se développer chez le chat ou accompagner des infections (par exemple une pneumonie chez le chat), que le système immunitaire affaibli ne peut plus combattre. Des symptômes neurologiques tels que des troubles du mouvement sont également possibles. Une fois que la phase finale de la FIV a commencé, les chats meurent généralement dans un délai d'un an. Il est donc important que si vous soupçonnez que votre chat est atteint du sida du chat, vous consultiez immédiatement votre vétérinaire.
Il pourra déterminer si votre chat est réellement atteint par la maladie et vous aidera à prendre les mesures nécessaires pour apporter le meilleur soutien possible à votre chéri.

Coryza du chat : il faut vacciner contre la grippe féline

Le coryza du chat, aussi appelé grippe féline, est une maladie infectieuse, qui peut être potentiellement mortelle dans les cas graves. L'animal s’infecte au contact d'un animal contaminé (par le virus de l'herpès ou des calicivirus). Cette maladie touche en priorité les jeunes animaux, mais aussi les animaux plus âgés.

Les symptômes de coryza du chat peuvent être très variés et diffèrent selon le type d'agent pathogène concerné. Un diagnostic exact ne peut donc être établi que par le vétérinaire lors de tests de laboratoire appropriés. Les signes d'alerte typiques sont un état général perturbé combiné à des symptômes tels qu’une conjonctivite, de la fièvre, un essoufflement, des écoulements purulents du nez ou des yeux, de la toux, des plaies au niveau des muqueuses de la bouche ou de la gorge, une diminution de la prise alimentaire ou un comportement apathique. Si votre chat présente l'un de ces symptômes, vous devriez consulter votre vétérinaire le plus tôt possible afin de prévenir une aggravation. Sachez qu’il est possible que votre chat devienne aveugle, les yeux sont souvent affectés par cette maladie. Plus le traitement est commencé tôt, meilleures sont les chances de guérison.

Mesures préventives : Une fois que cette maladie virale s’est déclarée, il est très difficile de traiter les chats infectés. Par conséquent, il est recommandé de vacciner votre chat dès le plus jeune âge et de lui administrer des rappels annuels réguliers pour maintenir la protection. Sachant que les agents pathogènes excrétés survivent pendant plusieurs semaines dans l’environnement et peuvent être transmis par les vêtements et les objets, les chats vivant exclusivement à la maison devraient également être vaccinés régulièrement contre le rhume du chat.

Typhus du chat : une maladie très contagieuse

Le typhus du chat, aussi connu sous le nom de panleucopénie féline ou sous le nom de maladie de Carré, est une maladie féline très contagieuse. Comme le coryza du chat, cette maladie virale est potentiellement mortelle chez les animaux atteints. Pour cette raison, il faut toujours consulter un vétérinaire en cas de doute.

Symptôme typique de la maladie : les chats atteints présentent une forte fièvre. De plus, de nombreux chats souffrent de fatigue et montrent un comportement apathique : ils dorment beaucoup plus que d’habitude et n'ont plus envie de jouer. Souvent, ils présentent des vomissements et perdent leur appétit.

Cependant, si vous consultez le vétérinaire à temps, il vous prescrira un traitement approprié qui préviendra l’aggravation.

Vous pouvez protéger votre chat contre le typhus du chat en le vaccinant entre la sixième et la douzième semaine de vie. Il faudra lui administrer un rappel tous les 3 ans. A noter : il est également important de vacciner les chats d’appartement contre le typhus du chat, et pas seulement les chats qui ont accès à l’extérieur ! En effet, vous pouvez ramener le virus dans votre appartement, collé à la semelle de vos chaussures et contaminer votre chat de salon...

 

Maladie des griffes du chat : 40% des chats sont porteurs sains

La maladie des griffes du chat, nom commun donné à la Bartonellose, est causée par la bactérie “Bartonella henselae”. Les chats transmettent cette maladie par les griffures ou la salive mais les puces du chat sont aussi un facteur de transmission. Les enfants sont les premiers touchés, mais les adultes peuvent également l'être.

Au début, la zone de griffure va gonfler ou présenter une cloque, puis la plaie et les ganglions lymphatiques alentours peuvent enfler et devenir douloureux. Par la suite apparaissent souvent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et articulaires, un manque d'appétit et une fatigue générale.

En règle générale, les symptômes disparaissent d’eux même, sans traitement. Mais les personnes dont le système immunitaire est affaibli, peuvent développer des inflammations des yeux, du cerveau et du cœur et nécessiter un traitement antibiotique.

Globalement, environ 40% des chats sont porteurs sains de la bactérie (c’est à dire qu’ils ne sont pas malades). Ainsi, les enfants et les personnes fragiles doivent éviter, dans la mesure du possible, de se faire griffer par les chats.

Quelques aliments pour bien prendre soin de lui :

 

Toxoplasmose du chat : prudence chez les femmes enceintes

La toxoplasmose du chat est due à l'infestation de parasites dans l’intestin. Les chats d’extérieur sont particulièrement touchés, c’est beaucoup plus rare chez les chats d’appartement (qui ne sortent pas). Important : les humains peuvent également être infectés.

La toxoplasmose représente un danger pour les femmes enceintes. Si une femme est infectée pour la première fois pendant sa grossesse, il y a un risque de fausse couche ou de malformation (handicap mental en particulier) chez l'enfant. Prudence ! Les femmes enceintes doivent faire particulièrement attention lors du nettoyage de la litière (utiliser des gants et se laver soigneusement les mains après) ainsi qu’en ce qui concerne leur alimentation (attention aux aliments crus). Le contact direct avec les chats ne joue au final qu’un rôle mineur dans l’infection.

La toxoplasmose est en effet principalement transmise par l’intermédiaire des excréments de chats contaminés. Le parasite peut survivre dans l'environnement pendant plusieurs semaines. Néanmoins, un chat contaminé par un oiseau ou un rongeur n’excrétera le parasite dans ses selles que pendant deux semaines.

Les humains ingèrent des toxoplasmes par l’intermédiaire de viande insuffisamment cuite, de produits à base de lait cru ou de légumes non cuits ayant été au contact de terre contaminée. En plus des femmes enceintes, les personnes immunodéprimées sont particulièrement à risque.

Les symptômes ne sont pas spécifiques et ressemblent à ceux d’une grippe avec de la fièvre, des maux de tête et des douleurs musculaires. D’ailleurs, de nombreux chats ne montrent aucun signe de toxoplasmose ! Dans de rares cas, on relève des pertes d’orientation, des troubles respiratoires, des crampes, des vomissements ou encore des diarrhées...

En cas de doute, allez consulter votre vétérinaire : il prescrira des antibiotiques à votre minou en cas de contamination. Et si vous êtes enceinte, votre gynécologue vous soumettra à un test de dépistage.

Insuffisance rénale chronique : courante chez le chat âgé

L'insuffisance rénale chronique est l'une des causes de décès les plus fréquentes chez les chats senior. Le plus ennuyeux, c'est qu'elle passe souvent inaperçue sur une longue période.

Les premiers symptômes -tels que perte d'appétit, soif plus importante, vomissements, perte de poids et fatigue- surviennent habituellement lorsque déjà plus des deux tiers de la fonction rénale a été endommagée. Par ailleurs, les symptômes de la maladie sont multiples et vont de la diarrhée, des démangeaisons à l'hypertension artérielle, de la déshydratation jusqu’aux convulsions.

Plus de 50% des chats à qui on a diagnostiqué une insuffisance rénale chronique ont sept ans ou plus. Cependant, les animaux qui n'ont que quelques mois peuvent également être touchés. Certaines races sont particulièrement sensibles, notamment le Maine Coon, l'Abyssinien, le Siamois, le Bleu russe et le Birman.

Il existe différentes causes de l'insuffisance rénale : une infection, une maladie auto-immune, de l'hypertension artérielle ou un empoisonnement. Le traitement consiste avant tout à réduire la teneur en protéines et en phosphate de la nourriture du chat. Certains aliments diététiques spécifiques sont préconisés. Les symptômes secondaires tels que tension artérielle ou troubles digestifs peuvent être traités par des médicaments.

 

Leucose du chat ou FeLV : de nombreux porteurs sains

Une infection par le virus de la leucose féline -en abrégé FeLV- ne conduit pas toujours à la maladie, à savoir au développement d'une leucémie. Le virus de la leucose féline provoque d'une part une faiblesse immunitaire croissante avec une anémie forte; d'autre part il peut également provoquer des tumeurs cancéreuses.

Une grande partie des chats infectés parviennent à combattre le virus : ils deviennent alors des porteurs sains, c’est à dire qu’ils sont porteurs du virus mais n’en présentent pas les symptômes. Néanmoins, si des virus sont détectés 16 semaines après l’infection, la maladie persistera toute la vie du chat. Cela signifie que l'animal a une probabilité de 80% de mourir dans les trois à cinq ans.

Chez certains animaux, les premiers symptômes apparaissent des années après l'infection. Il peut s’agir d’anémie, de fièvre, d'essoufflement, de vomissements, de diarrhée, de symptômes neurologiques ou de formation de tumeurs. La maladie affaiblit le système immunitaire, ainsi des infections normalement inoffensives sont potentiellement mortelles. La leucose est donc souvent un précurseur d'autres infections, telles que la péritonite infectieuse du chat (Fip), le sida du chat (Fiv), ou une infection respiratoire.

La transmission se produit principalement par contact direct d'animal à animal. En effet, le virus est présent en grande quantité dans la salive et, dans une moindre mesure, dans les excréments, l'urine, le liquide lacrymal ou le lait des chattes allaitantes. Par exemple, il suffit qu’un chat sain renifle un chat porteur, et le voilà infecté...

Il y a une vaccination, mais celle-ci entraîne parfois le développement de tumeurs.

 

PIF du chat ou Péritonite infectieuse féline : danger

La péritonite infectieuse féline (PIF) est l'une des causes de décès les plus fréquentes chez le chat. Elle est causée par le coronavirus intestinal, un virus initialement bénin. Si le virus mute, ce qui arrive dans 5 à 10% des cas, votre chat est condamné. Une fois la maladie déclenchée, l'espérance de vie n'est alors plus que de quelques jours à quelques semaines.

Les symptômes ne sont pas vraiment spécifiques. La plupart du temps, l'animal est inerte, ne mange plus et perd du poids, parfois alors même que son tour de taille augmente (gros ventre) ! Des vomissements et de la diarrhée peuvent survenir, ainsi qu’une inflammation des yeux et un essoufflement. Ou encore des symptômes neurologiques, le virus muté attaquant également le système nerveux central.

Soyez attentif, car le virus peut être transmis par vos vêtements ou des objets.

Il existe un vaccin, mais il n’est pas considéré comme fiable. Si votre chat est mort du PIF à votre domicile, il va falloir soigneusement nettoyer et désinfecter votre intérieur. Et attendre au moins trois mois avant de ramener un nouveau chaton à la maison. C'est la seule façon de s'assurer qu'il n'y a plus de virus présent, donc plus de risque d'infection.

Cystite du chat : quand la vessie est douloureuse

La cystite consiste en une inflammation de la vessie du chat, qui est source de gêne pour votre boule de poils, et peut s’accompagner d’une infection urinaire.

Les symptômes classiques sont les suivants : le chat urine plus que d'habitude, en petite quantité et la couleur de son urine est brun rouge. Votre animal cherchera en général un sol mou pour faire ses besoins (herbe, terre, matelas...). Ainsi, si votre chat fait pipi sur un coussin du canapé -alors que ce n’est pas dans ses habitudes-, il peut s’agir d’une cystite !

A noter également : parfois, votre chat a tellement mal quand il urine que vous l’entendrez se lamenter. Les causes habituelles d’une cystite sont des calculs urinaires, vésicaux ou une infection.

 

Hyperthyroïdie du chat : fréquente chez le chat senior

L'hyperthyroïdie féline est un trouble du système hormonal causé par une hyperactivité de la glande thyroïde, qui touche habituellement les chats âgés, à partir de 8 ou 10 ans.

Contrairement aux êtres humains qui peuvent développer une hyperthyroïdie ou une hypothyroïdie, les chats eux ne sont concernés que par l’hyperthyroïdie.

Il s’agit d’une surproduction d'hormones thyroïdiennes qui vont “accélérer” son métabolisme. Malgré un appétit accru, votre chat va perdre du poids, boire plus d’eau et uriner plus que d’habitude. Le pelage peut être hérissé et tomber par endroits. Le chat est aussi fréquemment plus agité qu’à la normale. On note parfois des vomissements ou une diarrhée, et certains chats atteints sont plus agressifs que leurs congénères en bonne santé.

De temps à autre, la maladie se manifeste au contraire par une diminution de l'appétit, de l'apathie, ou bien un essoufflement.

Puisque les symptômes ressemblent à ceux d'autres maladies (diabète, maladie rénale ou cardiaque), il faut consulter et faire examiner votre chat pour obtenir un diagnostic précis.

On la traite par un médicament qui réduit la production d'hormones thyroïdiennes. Il est recommandé de commencer par une petite dose et de l'augmenter lentement, si nécessaire.

 

Diabète du chat : attention au surpoids !

Les chats aussi peuvent aussi être atteints de diabète ! Dans cette maladie, la production d'insuline dans le pancréas est réduite. Ainsi le taux de glycémie augmente, ce qui entraîne un affaiblissement du système immunitaire. Attention, car si le diabète n'est pas traité par un vétérinaire, cette maladie peut entraîner la mort de votre animal.

Par exemple, si votre boule de poils perd du poids malgré un bon appétit, cela peut indiquer qu’il souffre de diabète. Les chats atteints boivent plus que d'habitude et semblent souvent fatigués. Consultez votre vétérinaire si vous avez un doute.

Après confirmation du diagnostic, le diabète peut être traité efficacement et lui offrir une vie heureuse et sans douleur pour les années suivantes. En général, un changement de régime alimentaire est recommandé. Dans des cas particulièrement graves, votre chat pourra avoir besoin de médicaments pour réguler son taux d’insuline (souvent par l’intermédiaire de piqûres).

De nombreux chats sont trop gros, particulièrement les chats d’appartement qui sont les plus concernés. Le surpoids n’a pas que des conséquences esthétiques : il peut aussi mener au diabète ! Alors pour garder votre minou mince, maintenez le actif et jouez avec lui !

Cancer du chat : un risque qui augmente avec l’âge

Les tumeurs ne sont pas présentes seulement chez l'homme : elles touchent également l’espèce féline. Le risque augmente d’ailleurs considérablement avec l’âge. Le cancer touche particulièrement les animaux âgés. En particulier les chattes non stérilisées, qui présentent un risque élevé de développer un cancer de l'utérus ou de l'ovaire. La forme de cancer chez le chat la plus répandue est le cancer du sang (lymphome), suivi des tumeurs de la peau (carcinome épidermoïde), du tissu sous-cutané (fibrosarcome) ou des muqueuses, ou encore des tumeurs mammaires chez la femelle. Si la tumeur est détectée à temps, les chances de guérison sont généralement bonnes.

Pour les maladies tumorales du chat, rappelez-vous que plus la tumeur est traitée tôt, meilleures sont les chances de rémission. N'hésitez donc pas à consulter votre vétérinaire dès les premiers signes. Une augmentation soudaine de la taille de certaines parties du corps, une perte de poids, une mauvaise cicatrisation des plaies ou des difficultés à respirer, à manger ou à visiter la litière peuvent indiquer une maladie tumorale.

Une tumeur ne signifie pas obligatoirement que votre chat va mourir. En général, les tumeurs chez le chat sont traitées de la même manière que les tumeurs humaines, à savoir par radiothérapie ou par chirurgie.  Cependant, ces procédures sont très stressantes pour les chats.

Certaines mesures permettent de minimiser le risque de cancer chez votre chat : une alimentation saine et de qualité, la pratique régulière d'exercices physiques, la diminution de son stress. Chez les chattes, la castration pratiquée avant les chaleurs réduit notablement le risque de cancer.

 

Rage chez le chat : une maladie rare mais effrayante...

C’est une maladie connue car elle fait peur. En France, le risque est très faible, mais pas totalement inexistant. Par exemple, des chauves-souris ou des renards en sont porteurs. A savoir, il existe deux formes de rage chez le chat. La forme dite “furieuse”, la plus connue, est caractérisée par des troubles de la déglutition, une forte augmentation de la salivation avec de la mousse autour de la gueule, et un changement dans son comportement (il devient agressif s’il était gentil, au contraire câlin s’il était plutôt distant). Mais cette forme ne concerne que 20% des chats atteints, la forme la plus fréquente étant la forme dite “muette” : le chat est atteint d’une paralysie des muscles de la mâchoire, bave beaucoup et meurt en quelques jours. Il existe une vaccination, mais celle-ci n’est possible légalement que pour les animaux de plus de trois mois. Renseignez-vous en cas de déplacement dans un pays asiatique ou africain, les campagnes de vaccination n’étant pas obligatoires dans certains de ces pays.